Une blague belge !

11 sept 2010
Catégorie : Actu Pourcel France, Presse & Médias

Le projet Pourcel/Odysseum fait couler beaucoup d’encre et fait parler… fera ou fera pas ? Alors, oui, le projet d’hôtel dans le quartier d’Odysseum à Montpellier verra le jour d’ici deux ans, car les frères Pourcel croient beaucoup au projet, à son positionnement et au potentiel de cette zone commerciale.

Chaque chose en son temps, 2010 étant consacré à la Chine et l’Exposition universelle, cela permet d’attendre que la zone Odysseum prenne son envol. Des études d’implantations vont être engagées, et le cadre financier ficelé très prochainement.

Cetim qui, d’après Midi Libre, a des ambitions régionales et des moyens, est attentif au projet…  serait-ce encore une blague belge ?

Édition de Midi Libre du mercredi 8 septembre 2010

Montpellier. Attentif au projet des Pourcel

Le président du groupe belge Cetim, Eddy Hartung, a des ambitions. Et des moyens : les siens (il est adossé au fonds d’investissement belge Optimmo) et ceux de ses clients investisseurs. Il est donc attentif aux projets en cours sur la région montpelliéraine. Mais il n’entend pas faire n’importe quoi. Il a ainsi étudié le projet des frères Pourcel, à Odysseum. « Nous l’avons regardé, avec notre partenaire montpelliérain, le groupe Sarro, confirme-t-il. Nous sommes cependant interpellés par le demi-succès d’Odysseum. J’attends donc de voir une faisabilité crédible avant de présenter ce projet à notre comité d’investissements. » Pour lui, « plus personne n’investit aujourd’hui sur un nom, qu’il soit Pourcel ou Bocuse. » Ce qui compte, estime-t-il, « ce sont les études ; il faut que le projet soit bon et que le type qui le porte soit bon aussi ».

En tant qu’ancien banquier spécialisé dans l’immobilier, Eddy Hartung a son propre regard sur le sujet. Un regard parfois froid et… lucide. « Avec Cetim, nous avons une bonne valeur ajoutée par rapport à ce qui existe déjà dans cette région. Ils ne sont pas juste un promoteur de plus qui arrive et investit. Ils ont une approche totalement différente », juge Thierry Cotentin, du groupe Sarro.

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