Vous n’avez pas encore votre cité de la gastronomie ? … non, mais vous êtes pas dans le coup !

29 avr 2015
Catégorie : Actualité Chefs & Restaurant, Chefs, Presse & Médias, Tendances

F&S La gastronomie est tendance, causer gastronomie c’est à la mode, côtoyer les chefs c’est branché, faire des selfies avec les chefs qui passent à la télé ça crée du buzz…

À tels points que des villes, des départements, des régions voient d’un bon oeil toute activité qui se créera autour de la cuisine, des chefs, de la gastronomie ( surtout pas de restaurant, c’est un sujet qui attire les emmerdes )… ils privilégient les sites dédiés aux arts de la table, à la cuisine, à la gastronomie, aux vins, aux produits du terroir…

  » … Vous n’avez pas votre cité de la gastronomie ? … non, mais vous n’êtes pas dans le coup ! … « 

Dijon, Lyon, Périgueux, Rungis … un peu partout fleurissent des projets, il est de bon ton d’avoir sa cité de la gastronomie… mais une question demeure : qui paye au final ?

Un article du magazine – Le Point – nous éclaire sur le sujet …

Lisez ci-dessous où cliquez sur le Link pour retrouver l’article dans son intégralité.

Collomb - Marcon

Recherche mécènes désespérément

La Cité de la gastronomie doit ouvrir ses portes en 2018. Gérard Collomb l’a affirmé mais le financement de cet établissement est encore loin d’être finalisé.

Mais où est passée la Cité de la gastronomie ? Après le psychodrame de l’échec de la candidature de Lyon, puis son repêchage au sein d’un réseau national, on n’entend plus parler de la Cité de la gastronomie.

Aurait-elle fait, elle aussi, les frais de la rigueur budgétaire ?

Le Mipim, le marché international des professionnels de l’immobilier, qui vient de se dérouler à Cannes, a été l’occasion de ressortir le dossier des cartons. Gérard Collomb l’a assuré, la Cité de la gastronomie ouvrira ses portes en même temps que le grand hôtel-Dieu, c’est-à-dire vers 2018.

cite-gastronomie-lyon

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Située dans la partie nord de l’ancien hôpital, la Cité internationale de la gastronomie prendra la forme d’un parcours développé sur 15 600 mètres carrés, comme l’a expliqué à Cannes son président, Régis Marcon, le chef aux 3 étoiles de Saint-Bonnet-le-Froid.

Elle intégrera 4 900 mètres carrés de restaurants, 2 700 de commerces, 900 de marchés de terroirs et 2 900 d’espaces destinés à accueillir conférences, ateliers et spectacles autour de l’idée du bien-manger.

Mais si le principe est acté, son financement est encore loin d’être bouclé. Et c’est bien là son maillon faible. Reposant sur un partenariat public-privé autour d’un groupement d’intérêt public, le projet est désormais entré dans la phase de recherche active de financement.

Au-delà de la partie prise en charge par la collectivité et par le constructeur Eiffage, maître d’ouvrage du grand hôtel-Dieu, c’est un « club de mécènes » qui devrait assurer le bouclage d’un budget de quelque 15 millions d’euros. Les grands groupes de l’agroalimentaire commencent à être approchés.

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