Ce que l’on ne vous a pas dit sur la consommation d’alcool

26 juin 2012
Catégorie : Pour le Fun

Quelques indiscrétions concernant la consommation de l’alcool et de vin, comme quoi on ne vous a pas tout dit sur le plaisir de boire quelques verres entre amis, qui peuvent malheureusement se transformer en addiction. Alors, soyez vigilants avec votre consommation et surtout, n’oubliez pas  » l’abus d’alcool est dangereux pour la santé, consommez avec modération !  »

Un jus de tomate pour faire baisser le taux d’alcoolémie

Une équipe de chercheurs japonais vient de dévoiler une astuce qui pourrait intéresser les joyeux lurons. Boire du jus de tomate permettrait de faire baisser le taux d’alcoolémie.
 En effet, ces scientifiques rappellent que l’alcool est absorbé au niveau de l’estomac et de l’intestin grêle puis éliminé ensuite progressivement par le foie. Une vitesse d’élimination qui demeure constante et propre à chaque individu. Comment accélérer le processus ? Les chercheurs ont mené une expérience auprès de volontaires qui ont bu 100 ml d’eau de vie, puis 480 ml de jus de tomate. Un jour après, ils ont renouvelé l’expérience en buvant de l’eau à la place du jus de tomate.
 Résultat : le jus de tomate entraîne une diminution de l’alcoolémie d’environ 30 % supérieure à l’eau. Soit un effet très sensible dans l’élimination de l’alcool dans le sang.

 

Non, la bière ne fait pas grossir !

Il y a peu, on pensait encore que la bière était responsable de la petite bouée qui apparaît pourtant souvent chez les piliers de comptoir. Voici qu’on pousse le bouchon encore plus loin : selon une étude de l’école polytechnique de Lausanne, la bière ferait même maigrir ! C’est aussi le cas du lait, qui agit comme un coupe-faim. 

Selon les experts, ces deux boissons contiennent de la nicotinamide riboside et c’est donc cette molécule qui boosterait le métabolisme tout en aidant à prévenir la prise de poids et le diabète.

 La bière aiderait aussi à diminuer le taux de cholestérol grâce aux polyphénols qu’elle contient. Le docteur Ramon Estruch, co-auteur de l’étude, indique : « La consommation modérée de bière est associée à des bénéfices nutritionnels. Elle n’est pas forcément liée à un gain de poids, car la bière ne contient pas de matière grasse et n’est pas très calorique.

 

La pensée positive touche aussi le Vin !

Se détendre en pensant à un verre de vin, le pouvoir de la pensée positive est tel, qu’il nous suffirait de songer à un bon verre de vin pour nous détendre, affirme une équipe de chercheurs néo-zélandais. Puisque nous nous attendons à cet effet relaxant de l’alcool, nous devenons automatiquement plus sociables et plus ouverts, pour répondre à nos attentes.

 « Les effets de la suggestion sont plus importants et souvent plus surprenants que ce l’on imagine », écrivent les scientifiques de l’Université de Victoria.
 Ce type d’effet placebo a déjà été démontré dans de précédentes études et peut s’appliquer à la réussite d’un examen ou au traitement d’une addiction.

 

Boire du vin pendant la grossesse, est ce permis ?

Peut-on se permettre de boire un verre de vin de temps en temps quand on est enceinte ? Selon des experts danois de l’Université d’Aarhus et de Copenhague, boire jusqu’à huit verres de vin par semaine n’est pas dangereux pour le bébé à venir et cela n’est pas un problème pour son développement futur. 

L’étude danoise publiée dans une revue internationale de gynécologie et d’obstétrique a sondé 1 600 femmes enceintes sur leurs habitudes de consommation de vin au cours de leur grossesse. Boire un à quatre verres par semaine était considéré comme une faible consommation, cinq à huit verres était une consommation modérée tandis qu’au-delà, c’était une consommation forte. 

Les chercheurs ont étudié les réponses des mamans et se sont intéressés à l’enfant une fois né pendant cinq ans. Selon eux, il n’y a aucun souci de développement neurologique chez l’enfant si la maman a bu modérément pendant qu’elle l’attendait.  » Nos résultats montrent qu’une faible ou modérée consommation d’alcool n’a pas d’effets néfastes sur les enfants jusqu’à cinq ans « . 

Voilà qui va à l’encontre des recommandations habituelles. Le plus souvent, les médecins rappellent que l’alcool a un effet toxique sur les cellules et les organes en développement du bébé. Cette étude aura donc pour effet de déculpabiliser les mamans qui prennent un apéro de temps à autre…

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